24 février 2017

Vedi Napoli e poi muori...

 Sous-titre: incontournable.







Emmène-moi dans un endroit spécial, un endroit beau, subtil,  bleu et vert et doux et multicolore que tu auras choisi pour moi. Un endroit que tu aimes et que tu voudrais me faire connaître.
Peu importe le lieu pourvu que l'on y trouve des gens qui sourient, des délices à déguster. Des odeurs entêtantes. Une vue imprenable. Des sons agréables.
Un peu de pluie mais pas forcément.  Un grand soleil mais aussi quelques beaux nuages. 
Quelque site splendide devant lequel je me pâmerais comme Stendhal.
Un endroit où l'on puisse flâner, danser, rêver.
Et laisser l'empreinte de nos pas pour toujours dans l'air du soir.
Je suis prête. 
On va où ?



Musique: Pink Martini

133 commentaires:

  1. Vedi Napoli ed ancora molte altre città (Firenze, Venezia, Roma, Lucca, Piza, Siracuse, Taormina, etc...)
    "On va où?" dis-tu:
    A Sérifos, par exemple :-)
    Molto baci Carissima

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah caro mio, rien que les noms de ces belles cités italiennes donnent le tournis.
      Mais Sérifos, ça ne sonne pas italien, ça, si ?
      ^^
      Ti bacio, caro
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Non, ça sent bon la fêta, le ouzo et l'été tout neuf....
      Peut-être y aura-t-il aussi Anthony Quinn qui danse le sirtaki sur la plage...
      Philema

      Supprimer
    3. Je l'ai mis dans un coin de ma tête, comme un beau rêve possible...mais pour l'instant rien n'est sûr.
      Je suis comme le gardien de phare, j'attends de voir comment le vent tourne avant de prendre la mer.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    4. J'ai lu très tôt ce matin. Et puis , j'ai attendu dans le hall de la plus belle gare du monde. Pas de Celle...Chuis donc parti vers d'autres aventures. J'aurais peut-être du envoyer un pigeon pour te donner l'heure prévue du départ?
      'n'autre còp...

      Supprimer
    5. Ah mince...j'ai loupé mon train !
      Pauv p'tit Bof !
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  2. Ta photo me fait rêver d'un autre ailleurs. J'ai aimé Florence et l'Arno. Ou Gênes et sa marina. Ou Syracuse et ses petites ruelles mystérieuses. Enfuyons-nous. Ma valise est prête. Bisous ma belle. Et j'espère que ta maman va bien. 😊

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pour le peu que je connaisse de toi, je sais que tu es une voyageuse dans l'âme...Et tes belles montagnes dentelées par l'or du soleil couchant, tes paysages adoucis par la neige aux contours soyeux, tes vallées luxuriantes du Cap Vert, tout me fait rêver chez toi.
      Ah...les ruelles mystérieuses de Syracuse...
      Merci chère Dédé
      Et merci aussi oui, ma mère va beaucoup mieux. ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  3. Le bonjour Dame Céleste. N’importe où est l’endroit rêvé, pour peu que les cœurs battent à l’unisson. Pour accompagner cette idée de voyage, de lieux, de rêves et de poésie :


    A l’abri du temps

    De l’abandon
    A l’instant sublimé
    Un pas de danse
    Comme des aimants
    Sur le fil invisible
    Qui balance et tremble
    Au-dessus du vide
    Un baiser brûlant
    Sur les lèvres en fruit
    Corps entrelacés
    Louvoyant dans les lacets
    Que les courbes offraient
    Quand ça dansait
    Sur des tempos endiablés
    Quand les vagues couraient
    D’une rive à l’autre
    Des corps dégrafés
    Craquaient des allumettes
    Traversaient le ciel éclairé
    Accrochés à la chevelure des comètes
    Voyage inespéré
    Vers des planètes inexplorées

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce très beau poème m'évoque un pays tropical, un pays de samba et de fièvre...
      Quelle plume magnifique! Des corps dégrafés craquaient des allumettes très beau.
      Merci l'ami.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. C'est le pays de mes adoptions. La chair et la peau !

      Supprimer
  4. des gens qui sourient, des délices à déguster, il y en a partout :-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Eh oui, bien sûr, Adrienne, qu'il y en a partout...mais lequel de ces lieux t'est cher, à toi ? Lequel aimes-tu faire partager, découvrir ? Voilà ce qu'il m'aurait plus de connaître...
      Ostende, peut-être ? ;-)
      Tu m'avais fait rêver avec ces plages amoncelées d'infinis nuages...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  5. Tu vas rire Célestine, mais je me demande si je n'habite pas cet endroit de rêve qui se trouve au carrefour de toutes les envies, toutes les découvertes, des belles amitiés, des jardins fleuris, odorants et cosmopolites dove tutti sono felici di vivere. Ti aspetto. Pace salute e baci Bella

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si si, cara mia, arrivo presto...
      Tu habites en effet un endroit en tous points conforme à ma description.
      Et j'ai hâte d'y être.
      baci
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  6. Je ne sais pas vous dire chère Celestine où est cet endroit. Ce que je peux vous dire c'est comment on ira.
    On partira avant le lever du jour. On se retrouvera devant la gare d'une petite ville. Tous les deux à moitié endormis d'un sommeil encore lourd qui ne veut pas s'en aller.
    Vous monterez dans la voiture. On avancera dans le paysage monotone des faubourgs qui vous endormira à nouveau. La tête repose sur le côté de la lumière qui nait, comme aspirant au soleil.
    Je roulerai. Vous vous réveillerez à cause de ce soleil de l'est qui réchauffera la vitre. Et oui, on ira vers le nord ...d'abord. Là, vous commencerez à parler doucement. J'écouterai, inattentif à la route et je m'engagerai sur l'est, vers les montagnes. La route montera doucement. Déjà un premier col. Le bleu et le vert sont là. L'or et l'argent issus des rayons du soleil qui jouent avec les éléments.
    On redescend un peu. C'est midi. Un village. C'est le jour du marché. On s'agite. On parle. On goûte. On visite. On s'enfonce dans la vieille citadelle. Là, une petite place, des arcades, une sorte de treille qui abrite quelques tables. On s'arrête. On écoute. On goûte le petit vin du pays et l'omelette fumante. Le village se calme. Le silence s'installe. Et si on restait là ce soir ?
    Quoi ? Vous ne savez pas ? Ah ! Vous voulez d'abord marcher. On quitte le village par les sentiers qui se resserrent quelques branches nous caressent au passage. Seuls quelques oiseaux, quelques cigales et le vent pour rompre le silence. La douce sensations de l'effort, du souffle qu'on entend. Les paroles s'espacent.
    On continue de monter jusqu'à découvrir ce paysage offert, de vallée, de combes, de villages accrochés...et toujours le soleil et l'ombre des nuages qui guident les regards et se jouent de nous.
    On redescend. Le village s'est réveillé. On reprend l'auto vers la ville dont on nous a parlé. Là, pas de faubourgs, des quartiers ouvriers qui s'animent du retour des travailleurs. Les premières lumières. Et puis un semblant de rempart, une place derrière la poterne. Une petite auberge. C'est l'heure de l'apéritif.
    Là ?
    "Bien sûr que vous pouvez dormir messieurs-dames ! Et pour diner vous ferez quelques pas, sur la place de l'église, ....une petite auberge."
    Des enfants jouent. Quelques anciens terminent une partie de cartes. Un peu plus loin on ramasse des boules pour retourner souper chez soi.
    Les arbres centenaires appuient leurs ombres bienfaisantes sur ce village de crèche. On prend le temps de diner.
    Déjà, les premiers ressortent à l'heure de la promenade. La place, puis le cours, le boulevard, le parc, et la place à nouveau. On marche groupés, en lignes, se tenant par le bras.
    Nous, nous ne sommes que spectateurs. Café ....puis un vieil alcool de prune. "Offert par la maison , messieurs-dames !"
    On resterait là sans fin si ce petit monde, a un moment donné, ne semblait disparaître.
    On rentre.
    .....
    Le reste ne m'appartient déjà plus. Merci de m'avoir fait rêver.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est un joli rêve éveillé que vous me faites vivre là, monsieur.
      Et magnifiquement écrit.
      Un rêve troublant car le style en est inhabituel.
      Merci, en tous cas.
      C'est un beau cadeau de non-anniversaire. ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Apparemment, vous avez emprunté le pseudo de Candide, qui est un de mes commentateurs.
      Si vous vous mettez à brouiller les pistes...
      Il me semble plutôt reconnaître le style d'un certain Julien Sorel, je me trompe ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    3. Zeu Candide, le seul, l'unique !vendredi, 24 février, 2017

      Holà Monsieur le soi-disant Candide, quel est donc ce vent qui vous fait prendre ici un pseudonyme déjà adopté par un hôte de marque, puisque c'est de moi qu'il s'agit !
      Et quand bien même il m'arrive fort souvent, pour des raisons aussi diverses que personnelles et indévoilables céans, de signer "Jdissa", il n'en demeure pas moins que le seul, l'unique Candide ici agréé, c'est moi !
      Hors donc, Monsieur, je vous saurais gré de bien vouloir choisir un autre patronyme, à votre convenance.
      A défaut, je me verrais dans l'obligation de vous inviter à régler cette affaire sur le champ, accompagné de vos témoins. Dans cette éventualité, je vous laisse le choix des armes : le pistolet à quinze mètres, ou l'épée.
      Sachez cependant que j'avoue une véritable tendresse pour l'épée. A quinze mètres.

      Serviteur, Monsieur !

      Supprimer
    4. J'oubliais : ;o))

      Supprimer
    5. Le lancé de fleuret, même à 15 mètres peut être redoutable, alors à ta place, je choisirais le craché de noyaux de cerise sur pourpoint blanc...
      Accolade

      Supprimer
    6. Oh my gode ! j'arrive en plein drame on dirait...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    7. Je fais de mn mieux pour limiter les dégâts, il parait que les colères de barbus sont terribles :-D
      Baci Cara

      Supprimer
    8. ben t'es un barbu gentil alors toi ? je t'ai jamais vu en colère...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    9. Comment Diantre pourrais-je me mettre en colère avec une Fée?
      :-P
      Ti bacio

      Supprimer
    10. Cher monsieur Candide,
      C'est avec humilité que je vous demande de bien vouloir pardonner cet "emprunt". Le texte de Celestine était un appel à des lieux, je le trahissais déjà en parlant de moyens.
      Arrivé à la fin, je n'osai pas signer de mon nom, encore moins d'un ancien pseudonyme. Dans ma candeur alors je pensais à "Candide" sans prendre la précaution élémentaire d'en vérifier l'existence. Mal m'en prit, je le confesse.
      Aprés votre pertinente remarque, je remontais le court du temps, allant chercher dans les commentaires la trace de ce "Candide" existant. "L'intelligence du propos, la finesse des remarques écrites par mon illustre prédécesseur , me dis-je, auront vite fait comprendre au lecteur que mes commentaires médiocres ne peuvent laisser aucun doute sur l'origine du commentaire. "
      Je fus rassuré. Mais je vous dois de plates excuses. Je refuse tout duel. Trop médiocre combattant, je risquerais de me blesser, ou même de vous blesser, ce qui, convenez-en, n'effacerait pas l'affront. Je préfère prendre la fuite, attitude moins dangereuse, et tellement plus adaptée à ma vraie nature.
      Mais avant cet effacement je renouvelle mes excuses.
      Ce qui me console est que votre indignation était pleine de talent. Bravo !
      Enfin, je dis-ca..... Ah ! Un autre affront. Je disparais.
      J'espère ne pas avoir indigné notre hôtesse. Si c'est là cas, qu'elle me pardonne. Sinon qu'elle me montre par un geste connu seulement d'elle et moi qu'elle n'avait pas plus que moi vu d'affront dans cet "emprunt" de pseudonyme.

      Supprimer
    11. @ Blutch : en même temps c'est pas facile risquer la colère d'une fée, on ne sait pas quels sont ses pouvoirs, qu'avec une certaine crainte j'imagine contondants. Te souviens-tu de cette fois où elle menaçait de te transformer en poêle à frire ?

      Supprimer
    12. Je suis quand même émue par le texte de Pardon si dessus qui prouve que mes lecteurs sont vraiment des gens bien ! Ce texte mérite que l'on souligne son humilité, son abnégation, et sa grandeur d'âme.
      Et je ne transforme personne en poêle à frire pour l'instant. ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    13. @ Candidebis / Pardon: ménon, t'en vas pas mon pote, y'a pas si tant d'affront que ça, et débarquant céans au débotté, tu ne pouvais savoir que j'occupais les lieux.
      J'ai juste fait un peu la grosse voix parce'qu'il faut parfois montrer qui on est, et je gage d'ailleurs qu'il se pourrait que quelques lecteurs découvrissent à cette occasion que Candide l'ancien et Jdissa sont une seule et même personne.
      Et comme tu écris bien, que tu as de la poésie et de l'humour, il serait bien dommage de te voir disparaître déjà, ce qui, je crois, attristerait notre hôtesse (qui reste d'ailleurs seule juge du bien-fondé et de l'opportunité de ce qui se passe ici).
      Et comme tu fais preuve d'imagination, je ne doute pas que tu trouves illico un pseudo t'allant comme un gant !
      Allez, métonculàmonpoulot, paye ta boutanche (t'as de la chance, la taulière et nous tous ici on n'aime que les bons vins, bières et autres spiritueux qu'on déguste avec modération à l'ombre d'un platane ou d'un saule en refaisant le monde), et pour moi, t'es le bienvenu !

      Bizouilles !

      Supprimer
    14. Aux Quand dites vous...
      Bon, ben j'irai refourguer mon kilo de cerises ailleurs... :-D
      Age eu dit:
      Je n'envisageais pas le risque de mettre une Fée en colère, j'ai juste dit qu'il m'est impossible de me mettre en colère avec une Fée (déjà par esprit de conservation, le coup de la poêle à frire est encore bien vivant...

      Supprimer
    15. Je veux rien dire, mais les cerises c'est meilleur à déguster que de s'en servir comme arme !
      Jdissa...oups! je dis ça...
      Et pour la poêle, je ne sais plus où j'ai mis la formule !
      ^^
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    16. @ Fée Lestine
      Si tu as bien suivi, il s'agit du craché de noyau de cerise, or, pour expulser avec plus ou moins de force, un noyau de cerise, il faut, au préalable, l'avoir dégustée :-P
      Pour la formule, surtout n'essaie pas de mettre de l'ordre...

      Supprimer
    17. Ah oui, c'est vrai...quoi qu'il en soit, ils seront mieux à germer dans ton beau jardin.
      Promis, je ne range pas mes affaires à la recherche de la formule.
      Baci caro mio
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  7. N'importe où, mais avec toi...
    En attendant, je pars pour la Côte d'Opale.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Attends, que je respire un coup d'air frais ^^tu me fais rougir comme une pivoine...
      Très beau choix, Boss ! j'adhère ! comme la colle Sader.
      Il y a par ici des gens qui ne diront pas le contraire, des gens du Nooord qui ont le soleil dans les yeux, et me vantent leurs plages et leurs falaises avec bonheur.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  8. Mon père, qui avait fait le débarquement en Italie, vu le souvenir qu'il avait de Naples disait "Voir Naples et pourrir"...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hi hi ! Il était marrant ton dabe. Il se serait bien entendu avec le mien je pense.
      Il est vrai que la phrase est quelque peu prétentieuse et en tous cas exagérée...mais tu connais la ballade des gens qui sont nés quelque part, n'est-ce pas. Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète, ou du diable Vauvert ou bien de Zanzibar, ou même de Montcuq, ils s'en flattent mazette !... L'essentiel est d'aimer l'endroit où l'on vit, ce n'est pas toi qu'il faut convaincre du fait... ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  9. Hello Celestine. J'ai vu Naples et Rome et Florence et Pise et Catane et Ferrare et Bologne et Syracuse (je te rassure, tout cela en 40 ans).Alors on va où? Stendhal, toi et moi? Pourquoi pas là, même si le texte est un peu trop grave?

    Italia (écrit vers l'an 2000, j'étais un peu inspiré en ce temps-là).

    La pluie quiète mouille Parme

    L’oiseau sur le dôme gothique

    Tord le corps et soudain plonge

    Sur la place là-bas

    L’enfant chemise ouverte a séché ses larmes

    Il joue de l’ocarina

    Déjà la faim le ronge

    Le blé,poussière de piazza

    Voltige sous les becs laborieux

    Les ailes bruissent de fureur à vivre

    L’enfant plisse les yeux

    La liberté et la douleur l’enivrent

    En cet exil presque toscan.


    Bises Signorina W. et ATTB.


    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu étais inspiré, en effet, de très jolie façon, par l'ambiance de Parme, éminemment onirique.
      La gravité sied au syndrome de Stendhal...et cet enfant affamé qui court sort tout droit d'un film de Fellini ou de Pasolini.
      Grazie per il viaggio. attb
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  10. Je t'emmène sur une plage de galets noirs en Irlande. On écoutera la mer se déployer. Derrière nous les "montagnes" verdoyantes et le lointain chant des oiseaux. Tu gouteras à la paix intérieure, celle que je n'ai connu nulle part ailleurs.
    Je t'emmène en Irlande, dans la lande. Un appel à la poésie, au silence, au mouvement fou du vent.
    Je t'emmène en Allemagne, dans le village de mon enfance. Tout au fond, le Rhin qui se déploye, le soir une petite taverne bruyante où l'on mange la meilleure assiette végétarienne du monde (au monde).
    Je t'emmène visiter les Uffici à Florence. Puis boire un spritz en terrasse et des pâtes succulents dans une trattoria...
    ;)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'acquiesce à ton programme poético-gastronomique. Sans le vouloir, tu as tapé dans le mille avec l'Irlande, que j'aime infiniment. Mais tes racines rhénanes m'évoquent de beaux coteaux surplombant le Rhin et des châteaux embrumés dominant la plaine comme des chevaliers dans leur cape.
      Quant à Florence, je devais y partir quand le cours de ma vie a basculé d'un coup.
      Ce n'est que partie remise.
      ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  11. Je voulais te dire Killarney, mais Cloudy t'y emmène déjà, alors...
    Place aux jeunes ];-D
    Maintenant je connais un pub Irlandais le "Corcoran's" rue Saint André des Arts, si le cœur t'en dit ?N

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un pub Irlandais, plein de musique et de passion, un moment hors du temps comme je les aime, où plus rien n'a d'importance que le murmure des fleurs et la chaleur d'une gorgée de whiskey sur les lèvres ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  12. Ma ch bella ! Pousse aussi jusqu'à Ercolano, tu ne le regretteras pas...
    http://www.emmacollages.com/article-herculanum-ercolano-108425478.html
    Mille baci

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quel beau voyage photographique tu m'offres !
      Et j'ai particulièrement apprécié de réécouter cette chanson de Renan Luce que je n'avais plus entendue depuis longtemps.
      Merci¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Tu es la bienvenue !
      Je trouve cette chanson incoyable : un film en 3mn ! Quel talent. C'est sûr Renan Luce sait écrire des chansons...
      A bientôt pour d'autres voyages. J'en ai tout un lot...

      Supprimer
    3. Oui j'adore Renan Luce, un authentique poète du XXI°siècle ...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  13. Un endroit multicolore ? A Burano ! En passant par Venise !

    http://krapoveries.canalblog.com/tag/Burano

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Yes !!! Voilà, j'ai encore pillé ton stock pour ma collection personnelle de belles photos...
      Je vais finir par acheter un DDE rien que pour toi ^^
      Haut en couleurs, merci m'n oncle !
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  14. Je t'emmène en Bretagne bien évidemment.

    Tu auras le ciel bleu et nos magnifiques nuages.
    Un peu de pluie, et du soleil.
    Des vents caressants ou très fougueux.
    Des mers turquoise, émeraude, bleu profond.
    Des îles sauvages et douces.
    Des longues plages, des criques abritées, des dunes, des falaises escarpées.
    Des sables, roux, blancs, blonds.
    Des forêts, des landes.
    L'odeur de l'air marin, le parfum des ajonc, celui des genêts.
    Notre musique, et nos danses bien vivantes.
    Et tant de choses encore à déguster sans modération.

    Je t'embrasse Madame la Fée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme tu parles bien de ton joli coin de terre et de mer, dont je vois souvent de belles photos chez toi ou sur FB...
      Tes mots sont imprégnés d'une douceur et d'une sérénité magnifiques.
      Merci douce âmie
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  15. Je suppose que je t'emmènerais dans les endroits qui m'ont donné une émotion intense... en Turquie, au pied des monts Taurus qui font barrière aux nuages et renvoient l'orage sur la mer Egée; à l'assaut des 7 collines de Rome, à pieds comme il se doit, jusqu'à avoir les mollets tout ronds; au cœur de Marrakech, la ville ocre et foisonnante, la bouche pleine de pâte d'amande et de confiture de roses; ou surtout le fabuleux coucher de soleil sur les pentes de l'Etna, l'atelier grondeur de Vulcain... En attendant, je veux bien que tu m'emmènes à Naples;-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu supposes très bien, et le programme est alléchant ^^
      Et décrit de façon très poétique. L'atelier grondeur de vulcain, wouaou !
      Tous les sens me semblent stimulés...merveilleux !
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  16. Magnifique articles, photo superbe et texte aussi. De mon côté, je t’emmène Tout près de chez moi dans les calanques : http://missfujii.over-blog.com/2017/02/si-j-etais.un-paysage.html
    Bon Week-end Celestine

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah oui, comme j'aime ces paysages aux eaux turquoises et aux couchers de soleil fantastiques...
      Je projette d'y aller marcher depuis quelque temps.
      Beau week-end à toi.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  17. Je ne connais pas Naples et le regrette mais ce n'est que partie remise, je l'espère. J'adore l'Italie, et chacun de mes voyages dans ce beau pays m'a laissée le coeur languissant d'autres retrouvailles.
    Oh que j'aime lorsque sous le coup d'une impulsion nous remplissons à la va-vite une petite valise t filons sous d'autres cieux...pas nécessairement loin !
    Oh que j'aimerais que la dérive des continents rapproche davantage la Toscane de mon Béarn !
    Cette année, ce sera une escapade en Andalousie et au Portugal...programmée avec ma grande soeur et son mari. Tous les quatre ! Un bonheur à venir.
    Bisous

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un bonheur que tu ajouteras à ta cassette précieuse de petits bonheurs !
      C'est vrai, les escapades impromptues sont souvent les plus agréables...
      Merci pour ton enthousiasme Marie-Jo.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  18. Où je t'emmènerais ? Au petit village de pêcheurs de Monte Clerigo au Sud du Portugal sur la Côte Vicentine, un lieu dont je suis tombée amoureuse en juillet 2015. Nous irions tout d'abord déguster quelques fruits de mer accompagnés d'un Vinho Verde, dans ce petit restaurant sur la plage, il ne paie pas de mine mais l'accueil y est si chaleureux et convivial. Et puis nous nous déchausserions, et nous irions marcher sur la plage, admirant au loin les ondes des vagues, les falaises sombres, l'horizon. Cette plage est une merveille de la nature, on ne peut qu'être ébloui par tant de beauté. Tu vois, rien que d'en parler, j'ai une envie folle d'y retourner, et j'ai le coeur qui s'accélère. Oui, c'est vraiment un coup de foudre que j'ai eu pour cet endroit. Je te conseille vivement d'aller découvrir ce lieu, Célestine. Si tu l'aimes autant que je l'ai aimé, tu garderas en toi un souvenir dont tu ne pourras te défaire...
    Belle fin de semaine à toi, ma belle. Je t'embrasse.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. j'aime beaucoup la façon dont tu parles de ce lieu enchanteur. Quelle belle page de ton carnet de voyages tu nous écris là, Françoise. Je suis sûre que tu vas donner envie à beaucoup de ceux qui passent par ici et qui jettent un oeil aux grains de sel laissés par les autres... ;-)
      En tous cas tes mots me ravissent et me font rêver.
      Je suis certaine que j'irai un jour.
      Je t'embrasse douce amie
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  19. A force de faire la « traversée », ramant à la plume, d’un site à l’autre, ici et là, ailleurs aussi, mais ici en ravissement, volé aux chagrins du monde : une fille au milieu de rochers polis comme des galets ride à peine l’eau, qui s’écarquille, à la nudité élégante comme une avocette, sa cheville, son poignet tiendraient dans ma main. A force de lire ces mots voyageurs, baluchon coloré et sonore, je m’anime comme un buisson d’oiseaux migrateurs. Dans les oliveraies, la nymphe Echo est prolixe d’histoires d’amour. Sur la grève, la mouette a mis son capuchon chocolat pour les noces, on entend le moteur à trois temps des caïques. On attend quoi ? La mer est brodée d’îles et semée de Sporades, ma barque se balance dans la crique

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tes commentaires sont toujours très poétiques, Bricabrac. Il en émane une fantaisie et une originalité qui viennent sans doute de la façon unique que tu as de créer une atmosphère.
      Avec un brin de mystère et de parfum indicible. Et en plus, tu m'as appris ce qu'était une avocette.
      merci bricabrac
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  20. Je t'emmènerai sur une plage en Malaisie, dans une aube arc-en-ciel, où les sons de jungle se mélangent au ressac de la mer... Les gens y sont pauvres et simples, partageant leurs mets sans compter, souriants et accueillants au-delà de l'imagination... Tu verrais à proximité la vie sauvage, les poissons de toutes les couleurs nager à tes côtés, des varans se prélasser sur le sable et des singes farouches sauter de cimes d'arbre en cimes d'arbre...
    Un instant hors du Temps.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si j'écoute ta voix me bercer de cette description idyllique, je trouve que la Malaisie porte mal son nom. Elle devrait s'appeler la Bienaisie, en fait... ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  21. En premier lieu, je te conduirai chez moi, à la fois pays de Cocagne et Toscane. Tu serais ainsi à "deux" pas de la mer et de la montagne. Sur une terre riche en terme agricole mais en culture historique, tu irais par monts et par vaux. Et si ton appétit est plus grand je, - nous - , parcourions les ruines d'Herculanum, cueillerions les coccinelles sur les flancs de l'Etna, irions voir la belle Sicile depuis la terrasse du café. Nous y attendrions que la nuit tombe pour voir rougir les temples d'Agrigente. Et puis si le temps et la vie nous le permettent, j'irai revoir mon lieu d'enfance. Beau voyage n'est-ce pas ? Mais surtout, revenir à Venise.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je ne savais pas que tu étais italienne, Lou.
      Et je ne savais pas non plus qu'il y avait des coccinelles sur les flancs de l'Etna... ;-)
      Cette promenade sicilienne me comble.
      merci beaucoup Lou
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Comme toutes les terres volcaniques, celle de l'Etna est très fertile. Il est donc cultivé sur une bonne partie de ses pentes, qui vont jusqu'à la mer.
      J'avais réussi le prodige de passer 2 semaines en Sicile, sans voir l'Etna, perdu dans les nuages. Toute fois, j'avais vu des maisons à 1'600 mètres d'altitude.
      Donc rien d'étonnant à y voir des coccinelles, en plus des vaches et des moutons, moins pratiques pour la cueillette ;-)
      Ti bacio

      Supprimer
    3. Ah merci pour ces explications scientifiques, Blutchiamo.
      Tu n'as jamais cueilli de moutons ? Tu m'étonnes, là... :-D
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    4. Peut-être bien que j'ai en plus de tout le reste quelques gouttes de sang italien, puisque le Valais (terre de certains de mes ancêtres) est tombé, un jour, dans le comté de Savoie, en lien avec l'Italie (mais là, je suis incertaine). Non La Toscane, on peut la retrouver dans mon Tarn, terre de Cocagne ! Pour le reste, je suis si bien en Italie, que j'y vivrais volontiers si je le pouvais, mais aussi en Espagne, et peut-être bien au Maroc (pays de naissance). Tu arrives à me suivre ?
      Les coccinelles se posent sur le sol près de l'Etna à cause de la nature minérale et probablement de la température favorable à leur éclosion. Mais c'est assez impressionnant dans voir des milliers : à hésiter de marcher tant le sol est recouvert !

      Supprimer
    5. Une explication...
      http://www.lave-volcans.com/fiches_science_9.php

      Supprimer
    6. Je me suis régalée à découvrir cet étonnant fait naturel.
      merci beaucoup Lou.
      Comme moi tu as des origines multiples, alors je te suis, bien sûr !
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    7. @ Lou
      Le Valais a quitté l'influence et la domination savoyarde vers 1569. Dans ces conditions, peut-on parler de sang italien?
      Pour tirer un parallèle, les Tahitiens ont-ils du sang auvergnat à être dans le giron de la France?
      Mais rassure toi, le vrai sang valaisan n'est pas du jus de betteraves pur autant :-)
      Et puis le Tarn ressemble beaucoup à une de mes terres d'élection: l'Aveyron ;-)
      Bises

      Supprimer
  22. Partir… partir.... même en rêve avec cette belle musique

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui Jak, surtout en rêve...
      Les voyages intérieurs sont très riches.
      La musique, tu as raison, elle est très inspirante
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  23. Le Monferrato en Piémont. Asti, Paolo Conte, les petits bars d'habitués, les soirs sur la place qui ressemblent à des tableaux d'Edward Hopper, les petits vins de derrière les fagots, les truffes blanches du Piémont... du vrai.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je te fais confiance, sorellita.
      Tu connais les bons endroits, et la correspondance subtile entre les parfums, les sons et les couleurs... ;-)
      Et Paolo Conte...mamma mia...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  24. Je t’en emmènerai comme dans une rêverie au pays du soleil, tu sentiras l’agréable émotion de te laisser vivre, de ne plus te préoccuper de rien, de ne plus manifester un quelconque besoin, de ne plus t’astreindre à rien, de ne plus craindre ou pleurer, sauf d’admirer l’étendue immense de ce monde du silence, qu’est le désert! Alors, l’apaisement et le silence environnants te reprennent et, de nouveau, recommence pour toi la vie contemplative, la plus gracieuse, la plus sublime que qu’on ne puisse jamais espérer.
    C’est la bienheureuse annihilation du moi, dans cette vie contemplative du désert qui nous fait éloigner les pensées issues de la souffrance humaine…
    Dans les superbes oasis, rien n’atteindra la féerie légère et la douceur pénétrante des ombres fuselées des palmes penchées en voûtes sur le sable blanc ! la nuit, les éclats de la lune se joueront mystérieusement entre des dattiers efflanqués et aériens comme des filiformes êtres, pareils à de fins pylônes difformes!
    Tel Est Naples une oasis du sud
    Bises rêvées

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je savais que tu aurais les mots du poète pour décrire le désert et son mystère.
      Je retrouve les accents d'Isabelle Eberhardt et de ses écrits sur le sable, qui m'avaient tant éblouis quand je les avais découverts par ton entremise. Ces dattiers filiformes sont fabuleux!
      Si j'étais seule, n'était-ce point parce que je l'avais voulu aux heures conscientes où ma pensée s'élevait au-dessus des sentimentalités lâches du coeur et de la chair également infirmes ? Etre seul, c'est être libre, et la liberté était le seul bonheur nécessaire à ma nature. Alors, je me dis que ma solitude était un bien.
      Un extrait qui m'avait particulièrement marquée, notamment par cette dimension quasi mystique dont tu parles.
      Merci, plus que jamais prince du désert.
      Bises en éclats de lune
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Isabelle Eberhardt la sublime, la voyageuse, la poétesse, la vagabonde, celle qu'on supposait être la fille de Rimbaud avait dit:"Tout le grand charme poignant de la vie vient peut être de la certitude absolue de la mort. Si les choses devaient durer, elles nous sembleraient indignes d'attachement." Elle rêvait du désert, elle y avait vécu; elle y était enterrée."
      Bisous lunaires

      Supprimer
    3. Mais mais mais mon Ami, je ne savais pas que Rimbaud était Suisse :-)
      Accolade et baci à la patronne

      Supprimer
    4. C'était à Genève en 1976 que Rimbaud avait rencontré la mère d'Isabelle Eberhardt, alors qu'elle vivait là-bas avec ses autre enfants. Isabelle était le 1er février 1976.
      http://perspectives.over-blog.net/article-16812146.html
      http://archives.lesoir.be/isabelle-eberhardt-reincarnee-sur-les-traces-d-un-rimba_t-19921219-Z0666K.html

      Supprimer
    5. Pardon c'était à Genève en 1776 que Rimbaud................. et Isabelle était née le 17 février 1777.

      Supprimer
    6. Et ben voilà, je vais me coucher moins ignorant...

      Supprimer
    7. Si je peux me permettre, cher Bizak, c'est plutôt en 1876-77 que s'est passée toute l'histoire...Je dis ça je dis rien...
      Bises tardives à tous deux.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    8. @ Oui Céleste je me suis gouré avec les dates les confondant avec celles des palmiers dattiers. Je confirme pour tes deux dates.C'était en 1876, que Rimbaud avait rencontré la mère d'Isabelle, Natalie de Moerder. Quelques uns rapportaient que c'était le précepteur de ses enfants, Alexandre Trophimowsky qui était supposé le père d'Isabelle, mais quelques archives rapportaient aussi, que le précepteur était absent pendant toute l'année 1876 et se trouvait en Russie pour des affaires familiales. Alors que Rimbaud fréquentait Natalie de Moerder pendant cette année-là et qu'Isabelle naissait le 17 février 1877. Pour la paternité d'Isabelle: Lire un livre écrit par Françoise d'Eaubonne sur Isabelle Eberhardt et sa paternité avec Rimbaud: "La couronne de sable".
      Bises désolées pour la double erreur.

      Supprimer
  25. On va au Maroc. Atterrissage à Essaouira, histoire de voir la mer et de partager un repas au bord de la plage en regardant le ballet des mouettes et des barques bleues. Puis on traversera un bout de montagne et on ira au bord du désert, dans les dunes de Merzouga. Là tu seras debout au sommet d'une dune, ou assise si tu veux, tu te pâmeras et je ferai une photo.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce n'est pas le même morceau de désert que Bizak, mais ça me va bien aussi.
      Quel lyrisme ont mes lecteurs, c'est vraiment extraordinaire de voir comme chacun joue le jeu...
      je me pâme déjà...les barques bleues, les dunes...le ciel.
      Bisous chère Sophie.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  26. Encore félicitations pour ton dessin. L’esquisse de la silhouette est très subtile : on sent le léger déséquilibre des pieds qui glissent sur les galets. Très beau trait. En guise de voyage, pourquoi ne pas aller faire un tour dans tes peintures et dessins ? Et pourquoi ne pas lever les yeux et nous perdre dans la course immense des nuages et des formes, dans les jeux des couleurs? Et pourquoi ne pas écouter de très vieilles chansons qui nous mèneront dans des paysages oubliés ? Pourquoi ne pas faire un voyage immobile ? Si vraiment tu souhaites prendre la route, ce matin j’ai déniché un agritourisme en Sardaigne, en ai trouvé un dans les collines au Sud de l’île, surplombant la mer, plein de rires et de chèvres, le maquis et du silence bleu à perte de vue...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le voyage immobile, j'ai appris à le pratiquer à tout moment. L'évasion mentale, ou au contraire la plongée intérieure, des paysages incroyables attendent chacun de ceux qui tentent l'aventure.
      C'est ce que je parviens à faire quand je dessine.
      Pour la Sardaigne, j'aime tes mots pour en parler.
      Comme chacun ici, tu y mets de la passion et du rêve, comme un peintre utilise ses couleurs.
      Merci dad
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  27. j'ai trois possibles :

    - J'en parle demain à Frédéric Lopez
    - Je te prends un billet pour "le voyage intérieur" . Désolé ça ne peut être alors qu'un aller simple.... c'est un voyage sans retour, vu que lorsqu'on y a gouté on ne peut le quitter...
    - je te branche sur le sœurette à Le Forestier :
    https://www.youtube.com/watch?v=EcDlwaWGA4I

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. *Une parenthèse inattendue avec toi...j'avoue que ça aurait un charme.
      **Le voyage intérieur...je crois que je l'ai commencé, même si je n'ai pas encore atteint le point de non-retour...
      ***Ce voyage-là est sans doute le plus frissonnant...
      ♥︎

      Supprimer
  28. .."Dans une rue, au coeur d'une ville de rêve,
    Ce sera comme quand on a déjà vécu :
    Un instant à la fois très vague et très aigu...
    Ô ce soleil parmi la brume qui se lève !

    Ô ce cri sur la mer, cette voix dans les bois !
    Ce sera comme quand on ignore des causes ;
    Un lent réveil après bien des métempsycoses ;
    Les choses seront les mêmes qu'autrefois

    Dans cette rue, au coeur de la ville magique
    Où des orgues moudront des gigues dans les soirs,
    Où les cafés auront des chats sur les dressoirs,
    Et que traverseront des bandes de musique. (...)

    Ce sera comme quand on rêve et qu'on s'éveille !
    Et que l'on se rendort et que l'on rêve encor
    De la même féerie et du même décor,
    L'été, dans l'herbe, au bruit moiré d'un vol d'abeille".

    Paul Verlaine
    Jadis et naguère (1884)

    Allez, on y va ?
    Bonne soirée Célestine.
    Bisou.
    Den

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah volontiers !
      Cela ressemble furieusement à une ville que je connais.
      Merci den pour ce texte magique.
      Bisous
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  29. Il semble que ce soit bien souvent autour de la méditerranée que tes hôtes veuillent t'emmener, à tel point que l'italien semble devenir la langue officielle de ce blog.
    Où t'emmener ?
    Sur mon île, râpeuse et rugueuse à souhait, à côté de laquelle la bretagne fait figure de maison de poupées, mais si attachante de son opiniâtreté, de sa fore et surtout de sa faune, pas bin farouche.
    Et puis tu risquerais pas de sentir le renfermé ! ;oD
    En Irlande, bien sûr, nos goûts musicaux en attestent, mais c'est déjà pris par Cloudy et Andiamo.
    Alors ?
    Un petit coin d'Oisans à l'automne, et quand on a les jambes, monter seuls en refuge d'altitude au milieu des mélèzes flamboyant, tandis que les pentes commencent à se saupoudrer de neige, dans cette atmosphère scintillante si particulière à cette saison.
    Belle-île à l'automne...
    Les grands lacs canadiens...
    La scandinavie, norvège, finlande...
    Le désert aussi. Le sahara est envoûtant, dit-on, demande à Frison-Roche !
    Ou une dune, une simple dune, déserte, au crépuscule, pour voir le soleil passer sous les nuages et rendre le ciel incandescent, l'éclairant du turquoise à l'orange !...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. M'ouais, j'ai été plus lyrique. Vivement le printemps !

      Supprimer
    2. Sur ton île...euh ! non trop râpeuse pour moi. Et trop froide, et trop loin. De toutes façons je n'aime pas les îles où on est obligé d'aller en bateau. (Et ne ris pas, il y a des îles où l'on peut aller en avion, quand même je ne suis pas si bête)
      Tiens l'Irlande: voilà bien une île où l'on peut se poser en avion. Très bien.
      Sinon, je vois que tu aimes les endroits très fréquentés dans l'ensemble...
      Tu serais pas un peu ours ? ;-)
      Mais la dune, alors ça, j'dis pas non...ça te rend très lyrique, malgré ton mauvais jugement sur toi-même...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  30. Mince alors!Je n'ai pas d'endroit ou t’emmener.C'est ballot!Je n'ai guère voyagé dans ma vie.
    Mais,sur un coup de tète,prendre ma moto,quelques affaires,passer te récupérer...Direction:plein ouest...là ou le soleil se couche.Avec comme ligne de mire,la vague idée de traverser le massif central.
    Découvrir ensemble les paysages du pays Barraban,accoster mon pays par l'Aubrac avec les vaches aux yeux "mascarées".
    Oui ,bon d'accord,ce n'est pas très romantiques:les vaches!Mais qui a parlé de balade romantique? Dérouler le bitume en grimpant autour des "piles" du fameux viaduc frère de la tour parisienne.
    Faire le tour du cirque de Mallet,complétement sauvage avec au dessus les reflets du soleil de juin.Continuer l'escapade jusqu’à la "cité du vent",te raconter la légende...
    S'emplir des parfums dont seul le mois de juin a le secret,contempler chaque soir le coucher du soleil,et se dire:demain on sera plus près...
    Atteindre le sommet du"plomb du cantal" avant le levé du jour,pour voir le soleil se lever sur un horizon tourmenté dans un halo de rose et d'orange,et y gouter la rosée du matin.
    Brrrrrr,un peu frisquet en cette saison!
    Prendre la route étroite et sinueuse et accéder au"pas de Peyrol" tout juste déneigé...
    Embrasser le paysage...immense,sentir autour de nous l'odeur du plus vaste stratovolcan d'Europe...Sans oublier bien-sûr d’acheter un souvenir"attrape nigaud"..Heu,je veux dire "made in china"...
    Si tu n'as pas le vertige,par la route des crêtes,après avoir traversé un paysage vertigineux peuplé de vaches à la "robe acajou",faire une pause bienfaitrice à Salers.
    Y déguster un apéritif local du même nom,a base de gentiane.Personnellement,je l'agrémente d'un peu de jus de citron,ça"casse un peu ce gout âpre de la terre...
    Après un bon repas,déambuler dans la ville...Se sentir sur le toit du monde et ne pas penser au retour...
    Bon,c'est pas le Pérou,et il faut compter sur plusieurs jours de beau temps,surtout en motos!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. oups,surtout à moto!

      Supprimer
    2. A part ça, tu n'as pas d'endroit pour m'emmener...
      Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !
      J'ai suivi le périple en direct sur Google Earth... Le Viaduc de Garabit et ses lignes élégantes, les vaches maquillées de l'Aubrac...
      J'ai revu ce qu'était un stratovolcan (j'avais oublié)
      Je sais maintenant repérer le Cantal du premier coup d'oeil sur une carte du Massif central...
      Ce n'est peut-être pas le pérou, mais c'est Byzance de partir sur ta moto !
      Merci beaucoup Xoulec
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    3. Oui,bon ,j'ai peu voyagé,mais un peu quand même!J'ai un peu découvert la Belgique, merveilleuse, la ville d’Ypres...l'architecture particulière des Flandres...
      c'était...magique,dépaysement total!Excellent souvenir.Ce n'est pas la destination qui m'est venu en premier.
      Pour "chez moi",point besoin de Google Earth.En écrivant,je faisais le périple dans ma tête...Je connais tous ces lieux par cœur,pour les avoir découvert à moto.Les itinéraires de découverte sont innombrables,si l'on sort des sentiers battus,et des pièges à touristes,comme partout ailleurs!
      Je crois,que c'est ceux qui ont quittés leurs"pays" qui en parlent le mieux,même si je le garde à porté de "main". Le tout,rédigé en écoutant JJG on ira

      On partira de nuit, l'heure où l'on doute
      Que demain revienne encore
      Loin des villes soumises, on suivra l'autoroute
      Ensuite on perdra tous les nord

      On laissera nos clés, nos cartes et nos codes
      Prisons pour nous retenir...

      https://www.youtube.com/watch?v=flP-hF4O5ZM

      Supprimer
    4. Tu parles très bien de n'importe quel endroit, c'est le don des gens passionnés.
      J'ai beaucoup aimé ton commentaire d'hier.
      la chanson de JJG me rend mélancolique
      Merci beaucoup
      Bises émues

      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    5. Je suis ravi que mon commentaire t'ait plu,car j'y ai pris un grand plaisir.Il faut dire que c'était facile pour moi...
      Heureux de savoir que tu as fait des progrès en géographie...
      bises de la nuit

      Supprimer
  31. Moi je suis bien trop timide pour te proposer une destination.....Je n'oserai pas !!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mais non, Daniel, Tu n'as pas compris...je voulais juste que mes lecteurs me parlent des lieux qu'ils aiment particulièrement...
      Dommage, j'aurais aimé savoir pour toi... ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  32. Essaie Jérusalem, côté dépaysant, tu ne serais pas déçue.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je n'en doute pas, mais est-ce un lieu où tu aimes retourner ? Et pourquoi ? Voilà ce qui m'intéressait...
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  33. A tous les amis et toutes les amies de Céleste


    Viens, je t'emmène
    Où les étoiles connaissent la Fée Céleste
    Viens, je t'emmène
    Où le rire et les chansons dominent l’horizon
    J'ai tellement d’imagination
    Que je suis arrivé la haut sans aile ni avion
    Viens, je t'emmène
    Où les amis sont toujours bien accueillis
    Viens, je t'emmène
    Où les images tapissent notre âme de mots choisis
    J'ai tellement d’imagination
    Que je peux te décrire ici l’univers de l’amie
    Viens, je t'emmène
    Voir Montaigne et la Boétie
    Et déguster avec Bizak , Baladine, … …., divine poésie


    Bises

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu crois que France Gall va passer par ici demander des doigts d'auteur ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  34. Ah ils jouent "petits bras" La Bretagne, Noeux les Mines, Hénin Liétard, Boue sur Vase !
    Allez prépare tes bagages je t'emmène pour une croisière : Une croisière dans les îles mais oui tu ne rêves pas ! Rencart à Gennevilliers puis nous remonterons la Seine... l'île Saint Denis, l'île Seguin, l'île de la Jatte, arrêt au pont de Suresnes, déjeûner chez Mimile : Harengs marinés, pommes à l'huile, une boutanche de 13 degrés de déménageur...
    On dit merci qui ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si le vent est favorable, on poussera jusqu'à l'île Saint Louis, et l'île de la Cité ? ;-)
      Merci tonton Andiams !
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Ah oui j'oubliais un détail on embarque sur un pédalo ];-D

      Supprimer
    3. C'est bon pour les cuisses (de mouche, bien sûr, comme les bateaux du même nom)
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    4. Le pédalo est plus sûr que le voilier construit par Gabin dans le "Drapeau noir flotte sur la marmite" Dialogues Audiard et zizique du grand Georges SVP.
      Baci Cara

      Supprimer
  35. j'aime à fond ton bandeau il est réjouissant

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci Sylvie, j'aime ton enthousiasme bienveillant
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  36. En attendant, il y a un terrible et très drôle vieux vieux vieux roman gentiment policier, d'Exbrayat (Charles), "Aimez-vous la pizza?" que j'ai lu toute jeunette et qui se passait à Naples. Avec une jeune licenciée en lettres fraîchement débarquée d'Angleterre avec un fiancé plutôt du genre coincé. Et une famille italienne, les Garofino (quelque chose comme ça), avec la Mamma qui fait la pizza, le père qui la vend, le fils qui ne fait rien d'autre que balader son visage d'ange et ses boucles brunes et un tas d'autres personnages... Savoureux. De quoi donner l'envie d'aller à Naples (mais Naples, malheureusement et bien que j'y sois passée, je n'en ai gardé qu'un souvenir très très parcellaire). Parce que coincée dans une excursion à Pompéi et à Capri (ce n'était déjà pas mal)... Bon, quand j'ai trop envie de voyager, je plonge dans des livres de cuisine ou je mange... De la pizza ! C'est déjà ça. Ou des fruits de mer en beignets avec du jus de citron o:))) Excellent... Que de vieux souvenirs !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Miam ! voilà une invitation au voyage originale et divertissante !
      Je ne connais pas ce roman, mais cela manque à ma culture...
      Bon appétit, chère pivoine :-D
      je t'embrasse
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  37. En septembre car il y a moins de touristes, j'aimerais t'emmener, Célestine, à Guérande, nous visiterions le cité médiévale et les marais salants en toute fin de journée pour admirer le coucher de soleil qui donnent de merveilleux reflets dans les marais. Puis le lendemain, en voiture, nous irions à Batz-sur-mer et tout au bord de la mer, il y a un petit café où nous pourrions déguster de délicieuses huîtres ou moules, si tu aimes bien entendu...mais il y a d'autres plats à la carte. Ensuite, une jolie promenade le long de la mer et marcher sur les gros cailloux. C'est un endroit de rêve. Puis pour continuer de rêver, il y a aussi Le Croisic où tout est beau et accueillant et assises sur une terrasse, nous prendrons une consommation. Tu verras, nous serons heureuses :-)

    Bisous ♥

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je suis ravie de ce programme. J'adore la mer, les petits endroits goûtus et les ambiances de petits ports nichés dans leur anse..
      Guérande, cette proposition ne manque pas de sel !
      J'aime les fruits de mer, et les couchers de soleil.
      Oui, nous serons bien.
      merci de tout coeur

      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
    2. Les ambiances de ports nichés! ça alors...
      Je vais en boire un, té.
      Ah ben ça alors...

      Supprimer
    3. Alors là, faut que tu m'expliques parce que là, je n'ai pas compris la vanne...
      ^^

      Supprimer
    4. Je pense que, de t'expliquer, c'est pas la peine. Marche! Marche vers l' orient.

      Supprimer
  38. En Belgique évidemment !!!! Mais il y a aussi beaucoup d'endroits en France que j'ai découverts lors de mes vacances et où je t'emmènerais volontiers : la Route du Vin en Alsace, les paysages sauvages de Bretagne, les falaises de Normandie et de la Côte d'Opale, la charmante île de Ré, les bords de Loire et ses célèbres châteaux, Aix-en-Provence, le quartier du Panier à Marseille, les calanques et les îles Frioul, p.ex. Par contre, je ne suis jamais allé en Italie.

    Bon week-end Célestine.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je vois que tu as sillonné la France en tous sens !
      La Belgique, en revanche, garde encore beaucoup de secrets pour moi...
      Bisous Petit Belge
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  39. Me permets-tu céleste Célestine de copier ton billet et de l'envoyer à l'homme de ma vie avec ma signature ? Promis, je mettrais une astérisque, une petite étoile qui indiquera la divine origine de ce message... Envie de voyage et d'abandon à la beauté du monde... Bises et doux week end. brigitte

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mais quel plus beau compliment peux-tu me faire ?
      Bien sûr que je serai ravie que l'homme de ta vie lise ce message...
      Tu me diras où il aura choisi de t'emmener ?
      Bises émues
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  40. Bonjour Célestine,

    Quel plaisir de voyager avec tous tes liens et lianes ...

    Une liane ? J'aimerais découvrir le pays où je suis née ... Tananarive ... sur l'autre rive, la terre rouge, oui. Un jour, nous irons peut-être.

    Tant de voyages à faire dehors, plus ou moins loin ...

    Aujourd'hui les voyages intérieurs m'habitent ... Ils sont libres et infinis, naissent pas ?

    Je peux alors et à l'or du soir ensoleillé, qui se rallonge et qui annonce le printemps au sud ouest, te proposer un banc de chêne ou une chaise en osier, le chant des oiseaux palpitant, une part ou deux bien sûr d'un délicieux gâteau que je ferai pour nous, et mon sourire et la joie femme de se découvrir.

    Avec amitié, un voyage au vrai.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quand tu veux avec toi, Douce Veronica.
      Je n'ai pas d'autre exigence que cela: un banc, de l'amitié, de la douceur de vivre...
      Merci douce liane, pour ta proposition qui me touche au coeur.
      Et vivent les voyages intérieurs qui débouchent souvent sur de belles rencontres.
      Bisous en étoiles pour ton dimanche
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer
  41. Je te propose Sestri Levante comme destination avec la mer des deux côté de la presqu'île , (Ligurie)
    un passage obligé avant de voguer pour Naples
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sestri_Levante#/media/File:Sestri_Levante_and_Baia_del_Silenzio,_the_Bay_of_Silence.jpg

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les photos que propose ton lien sont splendides et donnent vraiment envie d'y aller !
      merci ma jument préférée.
      ¸¸.•*¨*• ☆

      Supprimer



Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.